Santé: «L’Etat n’a épargné aucun effort pour améliorerles prestations de soins», souligne Abdelhak Saihi

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Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a mis en avant, hier à Alger, les efforts consentis par l’Etat pour doter les structures de santé publique en matériel «ultramoderne» en vue d’améliorer les prestations de soins et la qualité de la prise en charge des malades. «L’Etat n’a épargné aucun effort pour équiper les hôpitaux avec un matériel ultramoderne et pour la numérisation des prestations de soins. Ces équipements témoignent de l’effort extraordinaire de l’Etat afin d’assurer la prise en charge de nos malades», a déclaré le ministre à la presse en marge d’une visite d’inspection au CHU Lamine-Debaghine de Bab El Oued. Durant sa visite, le ministre a inspecté les services de pédiatrie et des urgences médico-chirurgicales, nouvellement rénovés et renforcés en matériel moderne, tout comme ceux de la pharmacie, de la radiologie et de la médecine nucléaire. Rappelant les efforts engagés pour la modernisation du secteur de la santé, M. Saihi a souligné l’impact positif de cette opération qui s’est concrétisée par «un accès équitable et dans de bonnes conditions aux soins pour tous». À ce propos, il a rappelé que l’accès aux urgences médico-chirurgicales est facilité aux malades dès l’accueil, préconisant que les cas les moins urgents soient prise en charge par les polycliniques environnantes afin de réduire la charge sur le personnel soignant. Il s’est également félicité de la mise en place du Numéro d’identification de santé (INS), basé sur la carte nationale biométrique du patient et retraçant l’historique de ses soins, quelle que soit la structure de santé l’ayant traité. Concernant la pharmacie, le ministre a mis en avant l’importance du recours à la numérisation dans la gestion des stocks de médicaments, reconnaissant «l’existence, par moments, de contraintes liées à la pénurie ou à la péremption de la date des produits pharmaceutiques». Il a assuré, à ce propos, que «toutes ces contraintes vont disparaître, dans la mesure où il nous est désormais possible de connaitre, en temps réel, la réalité de nos stocks au niveau des pharmacies centrales des hôpitaux (PCH) et leurs besoins en la matière».

Yasmine D.